Le mot du blog : Binaural. Binaural. BINAURAL ET DOROTHEEEEEEEE !

Ah les micro binauraux. J’adore le concept et surtout le résultat.

Écoute ça avec des écouteurs, je te dis tout.

Faut encore que je travaille la gestion du bruit, mais je trouve ça très prometteur. Alors voilà, aujourd’hui je te propose de te fabriquer une paire de micros binauraux à partir de Panasonic WM-61A, et d’un vieux casque dont je ne me servais plus :

 

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Les micros en détails :

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Et voici comment les souder :

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La différence se fait grâce à la jonction qui existe entre le “boitier“ du micro et le point de soudure de la masse (aussi appelé « Ground » dans l’image précédente car je suis bilingue).

Un micro une fois soudé :

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On réutilise un casque audio parce que la prise et tous les cables nécessaires sont là. Fais bien attention à souder correctement en respectant les polarités. La masse est commune aux deux canaux. Un moyen de trouver « qui est qui » est de faire l’analyse avec un ohm-mètre (ce que n’importe quel multimètre est capable de faire.). Si t’as pas une résistance infinie entre le fil d’un canal et celui d’un autre : BINGO C’est la masse !

L’enregistrement doit se faire avec les micros à 15-20 cm l’un de l’autre avec si possible quelque chose entre les deux de manière à augmenter la désynchronisation entre les deux. Idéalement tu portes ça comme des écouteurs 🙂 .

J’attends vos réals 🙂 .

Le mot du blog : Il est parti, il a tout compris

J’ai renvoyé ma Freebox hier. Et comme je suis quelqu’un de prévoyant j’ai fait mon paquet la veille. Mais je voulais que Free, et plus particulièrement tout ceux qui croiseront ce paquet sur lequel était inscrit « Free résiliation » sachent pourquoi l’oiseau rentrait au bercail. Et aussi je voulais me marrer. Business as usual…

Donc j’ai fais ça :

I love youtube

 

Que je me suis empressé de poster sur Twitter. Depuis c’est “un peu“ nawak. Parce que ça a été RT une pétachiée de fois, ça a fait l’objet d’une news sur universfreebox et quelqu’un en a même fait un site pour télécharger et imprimer  des trucs à coller en me citant en référence. Admettons…

Alors j’vais clarifier quelques points avant que ça parte en couille parce que comme c’est internet ça partira forcément en couille :

  • J’ai fais ça parce que je trouve ça fun. Je me doute bien que Niel et Free s’en battent assez sympathiquement les sac à semences,
  • je n’ai rien à voir avec l’édition du site iloveyoutube.fr et la pub dessus (qui m’a DEJA été reprochée… #WTF #PASAMOI) mais je remercie son auteur, c’est une excellente idée,
  • j’aime que le truc prenne des proportions un peu dingue,
  • je ne suis pas un révolutionnaire.
J’ai un VRAI problème dans le conflit entre Free et Google. Fondamentalement, il ne doit pas être notre problème. Je rappelle à toutes fins utiles qu’on paye Free (mais en fait n’importe quel FAI) pour nous filer un accès. Le « A » dans « FAI », c’est ça qu’il veut dire. Donc si les tuyaux sont pas assez grands pour assurer cet accès dans de bonnes conditions, le FAI doit se démerder. Ce qui se passe entre Google et Free ne me regarde pas (J’ai quand même ma petite idée sur qui devrait raquer mais bon…).
J’aime pas beaucoup être pris en otage dans une dispute entre papa et maman, si tu veux.

Je n’appelle en rien au boycott de qui que ce soit. Vraiment. Je sais ce qu’on doit à Free par rapport à l’accès au net. Mais on peut pas vivre dans l’histoire constamment (c’est assez ironique que ce soit moi qui sorte ça là…).

Tout ce que je fais, c’est suivre les remarques couillues de Niel en janvier dernier pour Freemobile :

« Nos offres sont sans engagement parce qu’on sait qu’elles sont meilleures que la concurrence et par conséquent on ne craint pas que les gens s’en aillent »

Eh bah Xavier, il se trouve que dans ce cas précis, je m’casse en m’offrant un dernier sourire avec toi.

Le mot du blog : QoS i'm in too deep…

Pré-requis :

kB/s = kilobYtes per sec = Ko/s = kilo-Octets par secondes = unité qu’on l’aime fort

kb/s = kilobItes per sec = kbps : kilobite par seconde = à diviser par 8 pour avoir des ko/s  = aussi une unité très utilisé en réseau devenue de la branlette marketing de FAI.

 

Ce billet est la suite de mon exploration dans le monde de Tomato et du routeur WNR3500Lv2 sur lequel je l’ai posé. Cette fois on parle de qualité de service.

La qualité de service. Ca sert à quoi ? Pourquoi j’en veux ? Pourquoi t’en voudras ? Ca mange quoi l’hiver ?

 

Le cas concret :

Tu es en train de jouer à ton jeu préféré d’amour sur ta console ou ton PC. Quand SOUDAIN le lag de la mort. Quelqu’un ou quelque chose chez toi est en train de taper dans la BP ce qui fait tomber ton ping et génère le lag.

L’autre cas concret :

Tu télécharges un truc et quelqu’un ou quelque chose vient gueuler à raison que « Tu prends toute la bande passante petit enculé ! ». Dans le respect de la personne.

La solution : La QoS

Je t’emmène dans un univers aux problématiques que je trouve personnellement passionnantes mais qui peuvent te faire simplement chier. Je vais donc essayer d’être le plus didactique et distrayant possible pour ne pas te perdre jeune filou.

Le principe de base de la QoS c’est de séparer le traffic en classes suivant leurs destinations, fonctions, et typologies et d’appliquer des règles de priorisation que nous aurons définies au préalable. Par exemple, si on décide que le trafic prioritaire sur tous les autres c’est le surf, alors tu pourras foutre tous les DL que tu veux, dès que quelqu’un aura besoin de la BP pour surfer, ton DL sera relégué plus bas dans la pile de priorités et son trafic amoindris pour laisser de « la place » au surf.

C’est pas un peu magique et génial ça ?! Génial : Absolument. Magique : pas du tout, comme nous allons le voir dans la suite.

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Le mot du blog : Le firmware qui envoie la sauce...

Free me gonflant à me (nous) prendre en otage parce que Google fait rien qu’à pas vouloir payer les tuyaux (alors que je te le rappelle, on paye quand même les FAI pour ça… à la base) j’ai décidé de me barrer. Contrat résilié tout ça je me casse chez le cablo-opérateur du coin (Vialis pour ceux à qui ça parle) et son 100 Meg down 5 meg Up, quel que soit le site.

Problème, le modem fourni est un tout p’tit peu pas terrible du tout. Redirections de ports limitées, portée WIFI pas GLOP j’en passe et des meilleures… Du coup, je me suis dis :

“Tiens, installons un vrai routeur. Un truc de dur en bois qui déboite pour avoir un réseau au petits oignons“

Ce que je fis.

Après avoir écumé pas mal les fofos, je me suis finalement porté sur le WNR3500L v2 (le V2 est important, mais à priori y a plus moyen d’en trouvé en v1 neuf). L’avantage de ce bébé, c’est de pouvoir lui caler un firmware alternatif (ici tomato) pour en tirer la quintessence, et donc celle de ta connexion, qu’elle soit de bourgeois ou non.

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Il existe une péta-chiée de tuto pour installer Tomato dessus. Je ne vais pas les paraphraser. Ce que je peux te dire c’est que pour le Netgear WNR3500L v2  (j’insiste pour pas me faire chier dans les bottes après 🙂 ) il te faut la version de Shibby (All-in-One) parce qu’on est blindés de RAM et de ROM donc on prend la plus grosse.

Tomato installé sur le Netgear, tu bascules ton modem/routeur de base/box en bridge et tu branches un de ses ports ethernet au port WAN du Netgear.

Ensuite, tu te logues dans le Netgear (192.168.1.1 (admin/admin de mémoire. A CHANGER ASAP !!!))

Et voici ce que j’ai dans Network > Basic et qui devrait te permettre d’avoir au moins le net via le routeur :

Tomato 1

Je te mets ça à titre d’info, il n’y AUCUNE garantie que ce soit les réglages qui aillent pour toi. Mais bon… quand même… Pour les articles suivants, je pars du postulat que tu as accès au net via ton routeur et que tu as paramétré ton modem ou ta box pour pas nous faire chier (mode bridge ou équivalent en gros).

C’est bon ? T’as le net en passant par le routeur ? Ok, on se retrouve juste après pour parler de Qualité de Service aussi appelé QOS. Et ça va déboiter. 🙂

Le mot du blog : C'est quoi le délire avec les chiens dans les softs là ???!!

J’passe une par une mes bécanes vers Mountain Lion. Et il y a un truc que je supportais pas c’est le pseudo télescopage entre Growl et le notification center.

Alors j’ai acheté Growl 2. Pas trop cher, toujours aussi cool. Ca le fait. Du coup je pouvais tout envoyer vers le notification center.

 

Problème, toutes les notifs de softs compatibles avec Growl mais pas avec le notification center apparaissent avec l’icône de Growl. Et ça c’est plutôt chiant. Du coup j’ai découvert Bark.

Bark est un plugin pour Growl qui permet d’afficher les notifications d’applications non compatibles dans le notification center par l’intermédiaire de Growl 2.

 

Et ça marche super bien. Il suffit une fois tout installé d’activé la bascule vers le notification center dans Growl :

Notif center growl

Oui, c’est une capture « à la bourrin j’coupe les ombres et j’men fous ! »

 

Puis de définir comme action par défaut ici (toujours dans Growl) :

 

Action growl notif

Pour celle là j’étais dans ma période « coupure pré-soft d’en dessous »

 

Pour obtenir ce résultat dans le centre de notification ; 

Firefox notif`

Alfred is dead.

Bref, pour 2,39 (le prix de Growl 2), tous tes softs et leurs notifications sont affichés correctement dans le centre de notification. Et que ce soit par Growl ou le centre de notification, l’affichage est constant. Cette « pirouette » est totalement transparente pour l’utilisateur.

 

Et ça… (à vous !) 

Le mot du blog : Protéger et sévir...

J’suis tombé là dessus cette nuit : Une prise parafoudre qui protège tout ce qui est électrique et branché dessus mais aussi ton réseau grâce aux prises RJ45 IN/OUT présentes dessus.

 

Absolument inoffensif

Absolument innoffensive right ? WRONG !

Parce que dedans, nous trouvons un Raspberry Pi. Rien de moins qu’une bécane qui sniffe ton réseau pour savoir ce qui s’y passe et stocke les paquets sur une carte SD.

Voici là config interne : 

Pen test raspberry pi

C’est complètement brillant :

  • Le truc est alimenté dès que tu branches la multiprise et t’y vois quedal,
  • Il tape le réseau à l’instant où tu le branche dessus pour le « protéger » (douce ironie),
  • il stocke de façon totalement autonome les infos désirées.

Par contre, en te rendant sur la page du projet tu verras comment il est branché au réseau. Et pour être honnête, je suis étonné que ça fonctionne et qu’il n’y ait pas de conflits à la con. Parce que le branchement à tout l’air d’être fait en parallèle sur la prise RJ45. Dans les souvenir que j’avais de mes cours de réseaux, il me semble que c’était un tout p’tit peu plus compliqué que ça de faire un hub… Mais je peux me planter.

En tout cas, il y a un autre point très intéressant que soulèvent certains dans les commentaires, il est en pratique tout à fait possible d’utiliser la connexion internet du réseau sniffé pour envoyer les « données du jour » sur un serveur distant. Du coup une fois la prise posée, plus besoin de venir la récupérer pour chopper les infos. Bien que non détaillée, c’est probablement la manière dont fonctionne cette installation.

Encore plus discret, pourquoi ne pas ajouter une carte ou un dongle wifi activé une fois par nuit ? Le hacker se met alors à portée de réseau la nuit pour récupérer sa “pêche“. Comme ça, on évite les traces de connexions pour poser les datas collectées dans les proxies du réseau analysé.

Mis à part cette histoire de branchement en parallèle sur la RJ45 (qui peut au pire se résoudre simplement, mais je pense que les esprits derrières le bébé sont bien moins ignares que moi dans le domaine) tout est absolument brillant. Et flippant.

 

Via

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