Archive pour la catégorie ‘hardware’

Le mot du blog : Parce que depuis le passage à 10.12, ta Razer, elle Sierra rien.

Bonjour et bienvenue sur mon blog ! Je refais une intro, on sait jamais 😀

Bon pour de vrai, la dernière fois qu’on s’est quittés, j’avais encore un Macbook blanc avec un écran glaucoma. Depuis, j’ai cédé aux sirènes du MBP rétina (j’ai fait un coup en or, faudra qu’on en reparle). Du coup à moi Sierra et les dernières versions de logiciels en tout genre. Joie et Christophe allégresse.

Me voilà donc sur un nouvel OS. Mon premier depuis Snow Leopard… Autant te dire que j’ai l’impression de passer de la VHS au Blu-ray, de l’edge à la 4G.

Mais y a un truc qui me chagrinait : le scroll de ma souris (une bonne vieille Razer Lachesis des familles que je venère) déconnait, ainsi que son middle clic et son bouton n°5 qui ne semblaient que très vaguement au parfum (tu l’as ?).

La souris a presque 9 ans, je mets ça sur le compte de l’âge et me prépare psychologiquement à l’idée qu’il va falloir la remplacer.

Fast forward un p’tit peu d’temps, mon frangin (@Vermoot pour ceux qui débarquent) vient me voir et me tint à peu près ce langage :
Quand soudain, c'est pas ma souris la fautive

À la fin de la conversation, il gueule rapport que je lui ai assuré que j’avais aucun problème sur Sierra et qu’il pouvait y aller. (excusez l’alignement foireux, je reprends mes marques)

Ni une ni deux, j’installe son soft obscur (qui est en fait un prefpane) avec la confiance aveugle du gars qui vient de trouver l’astuce lui permettant d’économiser 80 balles pour une nouvelle souris.

Steermouse-to-the-rescue-Sierra-mouse-problem-3

Miracle. Tout refonctionne : le scroll, le middle click, le bouton n°5. J’ai juste eu à purger tous les setups souris de l’onglet « mission control » des préférences système et refaire les mêmes dans Steermouse.

DONC si ta souris à des comportements bizarres avec Sierra, avant de la jeter, vérifies si tu résous pas ton problème avec Steermouse. On a résolu notre problème, le Moot et sa Logitech G5 et moi et ma Razer Lachesis. On aime nos souris d’amour, pas la peine de nous juger sur leurs âges tcheunnard. Le soft est payant (19 deullors) mais t’as une version d’essai full spec limitée dans le temps. Donc tu peux voir sans dépenser un centime s’il peut te sauver la mise… Et ça…

Ça c’est bien.

L’autre solution c’est d’attendre qu’Apple corrige le bazar. Mais bizarrement, je sens que ça va pas être leur top priorité dans les mois qui viennent…

Le mot du blog : Tel est Prius qui croyait prendre...

Je sais pas si tu connais la DARPA, mais en gros, il s’agît d’une agence faisant de la recherche pour la défense des zussa.

Maintenant, tu prends deux ingénieurs de cette agence et tu les laisses jouer avec une Prius.

Résultat : la découverte d’une faille et une exploitation qui fait un peu flipper, mais assez comique.

Assez ouf hein ?

On a pas beaucoup d’infos sur le « comment ? ». Mais les loustiques prévoient de tout balancer le mois prochain lors de la Las Vegas Hacker Convention America Fuck Yeah ! Tout. Soft, faille et comment s’en servir. Perso, je trouve ça un chouille brutal.

Bon on est pas encore au stade du scénario catastrophe et tout. Mais quand tu sais que de plus en plus de bagnole sont équippées de connexion au Web… Tu te mets à réfléchir.

Oldies are definitely goodies 😉

Via

Le mot du blog : Ca c'est une promesse !

J’ai beaucoup de retard je sais. Mais je vous l’avais promis, voici donc comment j’ai quasiment supprimé toute la pub de mon réseau local.

Tout ce tutal est toujours basé sur mon routeur WNR3500Lv2 sur lequel j’ai posé tomato comme firmware.

Le but ici c’est de supprimer un maximum de pubs pour tous les appareils qui se connectent via ton réseau local à Internet. Ça concerne bien entendu toutes tes bécanes mais également tous tes iDevices et autres consoles. Et ça c’est cool. Déjà qu’on a pas des masses de place sur ces appareils c’est pas pour en plus se faire bouffer l’espace par de la pub dont on se badigeonne le nombril avec le pinceau de l’indifférence. Lire la suite

Le mot du blog : Binaural. Binaural. BINAURAL ET DOROTHEEEEEEEE !

Ah les micro binauraux. J’adore le concept et surtout le résultat.

Écoute ça avec des écouteurs, je te dis tout.

Faut encore que je travaille la gestion du bruit, mais je trouve ça très prometteur. Alors voilà, aujourd’hui je te propose de te fabriquer une paire de micros binauraux à partir de Panasonic WM-61A, et d’un vieux casque dont je ne me servais plus :

 

IGP8297

Les micros en détails :

IGP8298

IGP8301

Et voici comment les souder :

IGP8300

La différence se fait grâce à la jonction qui existe entre le “boitier“ du micro et le point de soudure de la masse (aussi appelé « Ground » dans l’image précédente car je suis bilingue).

Un micro une fois soudé :

IGP8304

On réutilise un casque audio parce que la prise et tous les cables nécessaires sont là. Fais bien attention à souder correctement en respectant les polarités. La masse est commune aux deux canaux. Un moyen de trouver « qui est qui » est de faire l’analyse avec un ohm-mètre (ce que n’importe quel multimètre est capable de faire.). Si t’as pas une résistance infinie entre le fil d’un canal et celui d’un autre : BINGO C’est la masse !

L’enregistrement doit se faire avec les micros à 15-20 cm l’un de l’autre avec si possible quelque chose entre les deux de manière à augmenter la désynchronisation entre les deux. Idéalement tu portes ça comme des écouteurs 🙂 .

J’attends vos réals 🙂 .

Le mot du blog : QoS i'm in too deep…

Pré-requis :

kB/s = kilobYtes per sec = Ko/s = kilo-Octets par secondes = unité qu’on l’aime fort

kb/s = kilobItes per sec = kbps : kilobite par seconde = à diviser par 8 pour avoir des ko/s  = aussi une unité très utilisé en réseau devenue de la branlette marketing de FAI.

 

Ce billet est la suite de mon exploration dans le monde de Tomato et du routeur WNR3500Lv2 sur lequel je l’ai posé. Cette fois on parle de qualité de service.

La qualité de service. Ca sert à quoi ? Pourquoi j’en veux ? Pourquoi t’en voudras ? Ca mange quoi l’hiver ?

 

Le cas concret :

Tu es en train de jouer à ton jeu préféré d’amour sur ta console ou ton PC. Quand SOUDAIN le lag de la mort. Quelqu’un ou quelque chose chez toi est en train de taper dans la BP ce qui fait tomber ton ping et génère le lag.

L’autre cas concret :

Tu télécharges un truc et quelqu’un ou quelque chose vient gueuler à raison que « Tu prends toute la bande passante petit enculé ! ». Dans le respect de la personne.

La solution : La QoS

Je t’emmène dans un univers aux problématiques que je trouve personnellement passionnantes mais qui peuvent te faire simplement chier. Je vais donc essayer d’être le plus didactique et distrayant possible pour ne pas te perdre jeune filou.

Le principe de base de la QoS c’est de séparer le traffic en classes suivant leurs destinations, fonctions, et typologies et d’appliquer des règles de priorisation que nous aurons définies au préalable. Par exemple, si on décide que le trafic prioritaire sur tous les autres c’est le surf, alors tu pourras foutre tous les DL que tu veux, dès que quelqu’un aura besoin de la BP pour surfer, ton DL sera relégué plus bas dans la pile de priorités et son trafic amoindris pour laisser de « la place » au surf.

C’est pas un peu magique et génial ça ?! Génial : Absolument. Magique : pas du tout, comme nous allons le voir dans la suite.

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Le mot du blog : Le firmware qui envoie la sauce...

Free me gonflant à me (nous) prendre en otage parce que Google fait rien qu’à pas vouloir payer les tuyaux (alors que je te le rappelle, on paye quand même les FAI pour ça… à la base) j’ai décidé de me barrer. Contrat résilié tout ça je me casse chez le cablo-opérateur du coin (Vialis pour ceux à qui ça parle) et son 100 Meg down 5 meg Up, quel que soit le site.

Problème, le modem fourni est un tout p’tit peu pas terrible du tout. Redirections de ports limitées, portée WIFI pas GLOP j’en passe et des meilleures… Du coup, je me suis dis :

“Tiens, installons un vrai routeur. Un truc de dur en bois qui déboite pour avoir un réseau au petits oignons“

Ce que je fis.

Après avoir écumé pas mal les fofos, je me suis finalement porté sur le WNR3500L v2 (le V2 est important, mais à priori y a plus moyen d’en trouvé en v1 neuf). L’avantage de ce bébé, c’est de pouvoir lui caler un firmware alternatif (ici tomato) pour en tirer la quintessence, et donc celle de ta connexion, qu’elle soit de bourgeois ou non.

LD0000728314

Il existe une péta-chiée de tuto pour installer Tomato dessus. Je ne vais pas les paraphraser. Ce que je peux te dire c’est que pour le Netgear WNR3500L v2  (j’insiste pour pas me faire chier dans les bottes après 🙂 ) il te faut la version de Shibby (All-in-One) parce qu’on est blindés de RAM et de ROM donc on prend la plus grosse.

Tomato installé sur le Netgear, tu bascules ton modem/routeur de base/box en bridge et tu branches un de ses ports ethernet au port WAN du Netgear.

Ensuite, tu te logues dans le Netgear (192.168.1.1 (admin/admin de mémoire. A CHANGER ASAP !!!))

Et voici ce que j’ai dans Network > Basic et qui devrait te permettre d’avoir au moins le net via le routeur :

Tomato 1

Je te mets ça à titre d’info, il n’y AUCUNE garantie que ce soit les réglages qui aillent pour toi. Mais bon… quand même… Pour les articles suivants, je pars du postulat que tu as accès au net via ton routeur et que tu as paramétré ton modem ou ta box pour pas nous faire chier (mode bridge ou équivalent en gros).

C’est bon ? T’as le net en passant par le routeur ? Ok, on se retrouve juste après pour parler de Qualité de Service aussi appelé QOS. Et ça va déboiter. 🙂

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