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Le mot du blog : Et quand on sait en plus le résultat qu'une conception naturelle peut donner...

Dans cette vidéo, Paul Root Wolpe nous explique où nous en sommes dans le domaine des expériences liées à la génétique et les biotechnologies.

La partie la plus dingue : ce singe qui comprend après une greffe qu’il est capable de commander un bras mécanique… par la pensée.

Je suis subjugué de ce que l’on est capable de faire. Mais finalement, encore plus des questions qui se posent à nous :

  • Sommes nous prêts à être responsables de ce que nous créons de la sorte ?
  • Quels sont les interdits ? Les espèces auxquelles on ne touche pas. Sous aucun prétexte ?
  • Déciderons nous de ramener à la vie des espèces disparues ?
  • Est-il éthiquement juste de manipuler des êtres vivants pour satisfaire nos besoins nos désirs ou, pire, nos caprices ?

C’est un monde que je suis en train de découvrir en ce moment (y a tellement de trucs à voir/dire/apprendre j’vous promets, c’est fascinant) et dans lequel je me rend compte qu’on ne sait finalement pas grand chose.

Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, on est capable de choisir dans quel sens évoluent les êtres vivants, et parmi eux : l’être humain.

Et si tu connais pas TED : traîne dessus. Picore ce site et va surtout dans les domaines que tu ne connais pas. C’est toujours complètement awesome.

Le mot du blog : IA SPORT... TSEUNEUGAYME.

Parcourant depuis sa Waterloo natale et comme à son habitude une bière à la main la souris dans l’autre un forum dont nous tairons le nom, Bertrand-Eude trouve soudain un sujet qui l’intéresse : IA et bots dans les jeux vidéos.

L’un des protagonistes de ce fil de discussion pose sur la table l’IA, à l’époque révolutionnaire, de Quake 3 Arena qui, non contente de savoir nager dans de superbes maillots de bain, était aussi connue pour son adaptabilité aux styles des joueurs.

He’s aliiiiiive

Le principe : appliquer au maximum de ce que l’époque permettait une sorte d’apprentissage génétique des meilleurs comportements à avoir.

Très basiquement : tu évolues, je m’adapte. Tu me butes, je cherche à comprendre pourquoi. Et le tour d’après, je ne reproduis pas le même schéma.

Le but du jeu de Quake 3 pour les plus jeunes d’entre vous (ou les sombres N00bs. Choisis ton camps camarade) : Une arène, 16 connards sous ritalin et un chrono. Le plus de tués = le plus de points.

Mais Quake 3 est sorti à une époque où l’on n’était pas toujours connecté (1999). On pouvait donc, en attendant la prochaine LAN, s’entrainer contre des bots. Des bots (que j’aime à imaginer portant le nom de Harry) dont la promesse était, nous l’avons vu, de s’adapter à ton jeu pour te forcer à te sortir de ta routine, de ta zone de confort. Lire la suite

Le mot du blog : QoS sessé kse bordel (oui bah on vient de repayer le serveur donc je suis là encore pour un p'tit moment. Maintenant que je le sais je m'lâche).

Ce billet est la suite de mon exploration dans le monde de Tomato et du routeur WNR3500Lv2 sur lequel je l’ai posé. Cette fois on défini les classes de la Qualité de Service.

Maintenant qu’on sait très bien comment gérer les vitesses de connexion en fonction de nos priorités, il s’agirait peut être de voir comment on fait en sorte que le routeur sache faire la différence entre ces classes. Parce que si on lui dit pas « Ca c’est de la vidéo, ça c’est du download et ça c’est… Non laisse tomber… NON MAIS REGARDE PAS ! Je peux tout t’expliquer… » Il est pas prêt de prioriser ce que tu fais de ta connexion correctement.

On a donc 10 classes auxquelles on a donné des priorités et alloué des ressources que nous estimons justes. Faisons donc en sorte que le routeur les reconnaisse correctement.

Pour ça, dans Tomato, on va se rendre dans la page « QoS »  puis « Classification ». Et à cet endroit, voilà ce que j’ai :

Ce sont des règles de classification. Les critères qui permettent de trier le trafic si tu préfères. Perso j’en ai 22 mais tu peux en faire beaucoup plus. Ou moins.

Il existe plusieurs moyens pour ton routeur afin de savoir à quoi correspond un flux de données :

  • Le plus facile à mettre en place c’est celui basé sur l’IP source (on ne gère la priorisation que via le UP je te rappelle). Dans ma configuration, tu peux voir une règle de ce type : la 14. Dans cette règle, tout ce qui est demandé par l’adresse IP 192.168.1.3 (qui est l’adresse IP en local de ma XBOX) est à classer dans « VOIP/GAME ». Qui est une règle hautement prioritaire, parce qu’on rigole pas avec le jeu vidéo.
  • La seconde, c’est celle qui utilise les ports. Familiarise toi avec ce concept si c’est pas déjà fait, parce qu’il est primordial. Tu peux en voir un exemple dans la règle 23 par exemple. Dans cette règle, tout ce qui passe par les ports 119 et 563, c’est du trafic pour mes téléchargements de distribution Linux par les newsgroups. En effet, les Newsgroups utilisent ces ports par défaut. C’est comme ça, c’est la loi sur les Internets. Par conséquent, je classe ce trafic dans « P2P/Newsgroups » que nous avons précédemment classé avec une priorité basse mais un débit important.
  • Une variante de cette méthode, c’est le combo « Ports + volume ». Cette variante, tu peux la voir dans les règles 22 et 18. Deux règles qui me permettent de classer en gros tout ce qui passe par un navigateur. En fait on va regarder ce qui passe par certains ports, mais aussi la taille de ce qui passe. Par exemple en lisant ces règles, tu verras que j’estime que tout ce qui passe par le port 80 mais pèse moins de 1024 ko, c’est du surf (règle 18). A l’inverse, tout ce qui passe par ce même port mais pèse plus de 1025 Ko, je considère que c’est du download (règle 22).
  • Enfin une dernière technique que j’utilise : Le layer 7. Il s’agît d’un tri sur la couche 7 du modèle OSI. Ca te saoule ? Retiens que grâce à la magie noire on peut identifier certains trafics très précisément. En gros, il existe des conventions en réseau qui font que certains paquets sont identifiables. J’utilise ce type de filtrage dans plusieurs règles (10,11,12,13,17). Ce qui me permet par exemple de classer le trafic des média et celui pour Skype.

Voilà en gros les méthodes et leurs principes. Ca peut te sembler obscur (c’était le cas pour moi hein, c’est complètement normal). Mon conseil : au départ, les règles qui t’intéressent tu les prends. Ensuite, en fonction de tes besoins tu verras ce que tu dois modifier.

C’est ce que j’ai fais perso et ensuite j’ai tout adapté à mon utilisation au fur et à mesure que je comprenais.

Bien sûr, y a du trafic qui tombe dans le download et qui n’en est pas. C’est par exemple le cas de Youtube que je n’arrive pas à faire tomber dans la bonne classe. Parce que ça tombe dans la règle 22 mais aussi dans la règle 11. C’est pas SUPER grave, mais c’est contrariant (Vimeo et daily eux, tombent là où il faut).

Souviens toi :

« Tu ne pourras pas avoir une classification parfaite (ou tu mourras en essayant). »

C’est comme ça.

Enfin, pour vérifier en temps réel dans quelles classes le trafic tombe, tu te rends dans l’onglet QoS et « View Graphs ». Où tu devrais avoir quelque chose qui ressemble à ça :

Graphs Qos

Dans le cas présent, on voit qu’il ne se passe quasiment rien sur mon Lan. Il n’y a que le Mini de connecté (j’écris ce billet entre midi et deux au bureau :)) Et le trafic existant est composé de surf (comprendre quelque chose qui pèse moins de 1024 Ko et passe par le port 80), du mail (en effet mail tourne en permanence sur le mini) et du trafic non classifié.

Lançons un DL via les newsgroups :

Graphs Qos 2

C’est pas la même. Vous noterez que la classe P2P/NG ne dépasse pas les 1350 kbit/s défini plus tôt dans notre guide. Awesome.

En fait, c’est grâce à des allers-retours dans ces graphique, et le paramétrage des classes que tu vas réussir à les définir finement. Tu paramètres une règle pour une classe, tu fais quelque chose sur le net qui devrait la titiller. Et si en te rendant sur les graphique de la QoS ton activité tombe dans la bonne classe c’est gagné. Et tu recommences pour toutes tes classes.

Je te rappelle que le but c’est de prioriser le trafic comme il faut. Et quand ça c’est fait, c’est le panard :).

 

Semaine prochaine : On bloque la pub sur tout le réseau : desktop, laptop, consoles, iPhone, iPod, iPad… On va buter la pub partout toujours grâce à ce routeur qui déboite.

Lire l’épisode précédent : Principe et configuration de la QoS sur un WNR 3500L et Tomato

Le mot du blog : Boston... Dynamics... Un coup de Nina Sharp ça encore...

Je suis surpris de pas avoir vu cette vidéo sur la moitié du web :

En tout cas, Boston Dynamics avance bien dans ces moyens pour me faire flipper.

Ah oui et donc Cheetah, le petit frère de Big Dog le robot qu’on dirait qu’il est vivant, ils viennent de réussir à le faire courir à 29 Miles à l’heure.

Pour ceux qui ne savent pas ce que c’est qu’une heure, ça fait 13 mètres par seconde.

Ce qui est assez ouf là quand même…

Le mot du blog : QoS i'm in too deep…

Pré-requis :

kB/s = kilobYtes per sec = Ko/s = kilo-Octets par secondes = unité qu’on l’aime fort

kb/s = kilobItes per sec = kbps : kilobite par seconde = à diviser par 8 pour avoir des ko/s  = aussi une unité très utilisé en réseau devenue de la branlette marketing de FAI.

 

Ce billet est la suite de mon exploration dans le monde de Tomato et du routeur WNR3500Lv2 sur lequel je l’ai posé. Cette fois on parle de qualité de service.

La qualité de service. Ca sert à quoi ? Pourquoi j’en veux ? Pourquoi t’en voudras ? Ca mange quoi l’hiver ?

 

Le cas concret :

Tu es en train de jouer à ton jeu préféré d’amour sur ta console ou ton PC. Quand SOUDAIN le lag de la mort. Quelqu’un ou quelque chose chez toi est en train de taper dans la BP ce qui fait tomber ton ping et génère le lag.

L’autre cas concret :

Tu télécharges un truc et quelqu’un ou quelque chose vient gueuler à raison que « Tu prends toute la bande passante petit enculé ! ». Dans le respect de la personne.

La solution : La QoS

Je t’emmène dans un univers aux problématiques que je trouve personnellement passionnantes mais qui peuvent te faire simplement chier. Je vais donc essayer d’être le plus didactique et distrayant possible pour ne pas te perdre jeune filou.

Le principe de base de la QoS c’est de séparer le traffic en classes suivant leurs destinations, fonctions, et typologies et d’appliquer des règles de priorisation que nous aurons définies au préalable. Par exemple, si on décide que le trafic prioritaire sur tous les autres c’est le surf, alors tu pourras foutre tous les DL que tu veux, dès que quelqu’un aura besoin de la BP pour surfer, ton DL sera relégué plus bas dans la pile de priorités et son trafic amoindris pour laisser de « la place » au surf.

C’est pas un peu magique et génial ça ?! Génial : Absolument. Magique : pas du tout, comme nous allons le voir dans la suite.

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Le mot du blog : Excusez moi, je sors de la douche...

Pardon, excusez moi.

 

Pffffeeeew. Ahem.

 

Je virais la poussière qui s’est déposée sur le blog. J’vais m’y remettre doucement. Mais je ne te cache pas que ça m’a fait un peu de bien cher lecteur chéri mon amour de ne pas toucher au blog pendant deux mois.

Et pour démarrer, je te propose d’évoquer la fonction “Plex it“ de Plex. Jusque là ça va c’est cohérent.

Mais que nous permet de faire cette incroyaaaaaaable fonctionnalité ?

Das cas Konkret

 

Imaginons tel l’Oréal si vous le voulez bien le scénario suivant : Tu surfes tranquille pendant une session de surf (donc pas devant ta télé), quand soudain alors que tu t’y attendais mais alors PAS DU TOUT,  PAF une vidéo qu’elle est trop bien :

Et là tu t’dis plusieurs trucs (possiblement) :

  • Merde j’ai pas le temps, si seulement j’avais un moyen de la favoriter directement là tout de suite
  • Fichtre cette vidéo peut potentiellement m’emplir de joie. J’eusse aimé en jouir sur mon 42 pouces et mon kilowatt de son (je te le recommande chaudement)
  • LE BOSS DANS L’BUREAU ! LE BOSS DANS L’BUREAU !

Et bien qu’à cela ne tienne jeune pimprenelle ! Si t’as un Plex chez toi et un compte MyPlex on va pouvoir faire tout ça. Et gratuitement ma chère Yvonne.

Plex est blablabla MediaCenter qui déboite, blablabla.

– Pourquoi pas XBMC ? Blablabla

– J’men branle, j’suis super content de Plex blablabla.

– Oui mais Blablabla !

– Ok j’finirai par regarder blablabla.

Donc tu te rends ici : https://my.plexapp.com tu te logues et tu vas ensuite à cette adresse : https://my.plexapp.com/queue/help .

Tu prends le « Plex IT » et tu le fous dans une barre de bookmarks de ton choix.

Tout l'monde est sur le Pleeeeeeeeeeeeeex !

Ensuite, tu connectes ton Plex (le vrai)  avec ton compte MyPlex si c’est pas déjà fait.

Et du coup, maintenant, dès que tu vois une vidéo trop bien et que tu veux la voir sur ton médiacenter plus tard (ou tout de suite), tu cliques sur ce petit bookmarklet et DIRECT elle apparait dans la liste des vidéos à regarder sur ton Plex.

This is pure Awesomeness. Ça fait deux semaines que j’ai découvert ça, j’en peu plus tellement je kiff 🙂 .

Bon et prochain billet, pas dans 2 mois. Promis.

Ai-je été complètement inactif durant deux mois ?

Non. J’ai toujours partagé moultes conneries et infos sur Twitter. Favorité moultes musiques qui déglinguent sur Soundcloud. Alimenté ma playlist Thank you Internet sur Youtube. Et été trahis à plusieurs reprises par ElRatone dans le mode Coop de F1 2011. Oui, un mode coop dans un jeu de bagnole. Probablement le truc le plus intelligent de ces 10 dernières années en simu.

Sauf avec Judas.

 

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